Touchant des millions d’enfants à travers le monde, ce fléau trouve son origine dans la pauvreté, du manque d’accès à l’éducation, des conflits armés ou encore des normes culturelles. Il se traduit par toute activité économique ou domestique effectuée par un enfant qui l'empêche de jouir pleinement de son enfance, de son éducation et de sa santé. C'est une violation grave des droits de l'enfant.
Les différentes formes du travail des enfants
Le travail domestique : les enfants sont employés comme domestiques dans leur propre foyer ou dans celui d'autrui, effectuant des tâches ménagères ou la garde d'enfants.
Le travail agricole : cela consiste en des tâches pénibles et répétitives, telles que la récolte manuelle, l'élevage du bétail dans des conditions précaires et l'exposition à des produits chimiques dangereux.
Le travail dans l'industrie : les enfants sont exploités dans des usines, des mines ou des ateliers, également exposés à des produits chimiques dangereux, à des températures extrêmes et à des risques élevés d'accidents.
Le travail dans la rue : les enfants sont contraints de mendier, deviennent des marchands ambulants, brillent des chaussures ou endossent des travaux dans des ateliers de réparation. Ils sont exposés à la violence, à l'exploitation sexuelle et à la criminalité.
Les pires formes de travail des enfants : ces formes de travail sont particulièrement dangereuses et nocives pour les enfants. Elles comprennent l'esclavage, la servitude pour dettes, le recrutement forcé d'enfants soldats, l'exploitation sexuelle, le trafic d'enfants et les activités illicites.
Les conséquences du travail des enfants
Le travail des enfants génère des conséquences graves et durables sur leur santé, leur développement et leur avenir. Leur maltraitance entraîne des maladies, la malnutrition, le retard de croissance, voire des blessures physiques. À cela s'ajoutent des problèmes de santé mentale (traumatisme, dépression, anxiété), ainsi que des retards scolaires. En effet, les enfants qui travaillent ont du mal à suivre les cours et à acquérir les compétences nécessaires pour réussir dans la vie.
Garantir un avenir meilleur
Plusieurs défis majeurs sont à relever afin de garantir à tous les enfants un avenir meilleur. Ce, entre autres, en luttant contre les inégalités et en renforçant la protection de l’enfance. Cela implique de refaçonner les législations nationales et internationales, de mettre en place des mécanismes de contrôle et de sanctionner les contrevenants. Il est également important de sensibiliser l'opinion publique à cette problématique afin de mobiliser un maximum de personnes autour de cette cause.
Vous pouvez donner du poids à cette lutte en souscrivant une assurance-vie socialement responsable
Souscrire une assurance-vie socialement responsable est une excellente manière d'allier épargne et engagement. En choisissant ce type de contrat, vous investissez votre argent dans des entreprises ou des projets à impact positif sur la société et l'environnement. Concrètement, ces derniers sont engagés dans la lutte contre les droits de l’homme, par exemple contre le travail forcé et celui des enfants, comme nous venons d’aborder.
Les contrats d'assurance-vie socialement responsable investissent dans des fonds labellisés ISR. Ces fonds sélectionnent les entreprises en fonction de critères environnementaux, sociaux et de gouvernance - dits critères ESG.
Ainsi, vous tirez profit de la transparence en ayant accès à des informations détaillées sur les investissements réalisés au moyen de votre épargne. De plus, les fonds ISR investissent dans une grande variété de secteurs, ce qui représente une porte ouverte à une stratégie de diversification personnalisée dans le but de limiter les risques.
Pour conclure, l’assurance-vie socialement responsable permet, non seulement d’épargner comme dans le cas d’une assurance-vie classique avec tous ses avantages embarqués, mais aussi de financer des projets nobles, dans des domaines variés qui touchent l’environnement et la société.